Bonjour Gérald,
la perte d'un être cher, de ta douce Marie, laisse une cicatrice... et à certains moments, elle se fait à nouveau sensible et douloureuse.
La fin de l'hiver et la fatigue qui l'accompagne reste une période critique.
J'espère très sincèrement que cette tristesse en toi sera passagère et que les jours plus longs et plus chauds t'aideront. Il peut être long et chaotique le chemin pour apprivoiser l'absence. Marie est là, dans ton coeur de papa.
Bien amicalement
Hélène